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De plus en plus de personnes exigent le départ de l’actuel premier ministre. Le sénateur Jean-Charles Moïse pose ses deux conditions pour qu’Ariel Henry reste au pouvoir au-delà du 7 février 2022. Faute de quoi, l’ancien maire de Milot menace d’investir les rues pour exiger son depart.

Le premier ministre Ariel Henry n’est pas de tout repos notamment à l’approche du 7 février 2022. Nombreux sont ceux qui ont déjà exigé le départ du PM de facto en raison de sa mauvaise gouvernance. Pour le coordonnateur du Parti Pitit Dessalines, le premier ministre Ariel Henry restera au pouvoir que s’il arrive d’abord à mettre en place un Conseil électoral provisoire (CEP) ensuite à résoudre le dilemme de l’insécurité qui règne en maître.

Le cas échéant, l’ancien sénateur de la République menace d’organiser des mobilisations très intenses à travers tout le pays pour exiger le départ du PM. D’autres personnes souhaitent également le départ du PM le 7 février prochain. Puisque 5 mois après, ses mesures sont sans effet positif sur le quotidien de la population.

Plus de cinq mois après la prise du pouvoir, Ariel Henry n’a pas pu délivrer la marchandise. Pour preuve, l’insécurité, la cherté de la vie, la famine, l’insécurité alimentaire chronique restent entier.

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