Le BINUH aidant, l’apprenti-dictateur Jovenel Moise devrait dans les prochains jours envoyer en prison davantage de citoyens car ils sont plusieurs centaines de milliers d’Haitiens qui s’opposent catégoriquement au coup d’Etat contre la Constitution, le 7 février 2021.
Qu’est-ce qui fonctionne exactement bien dans ce pays en faillite dont le peuple est méprisé par la communauté internationale ?
Jeudi 28 janvier 2021 ((rezonodwes.com))–Le dysfonctionnement du système judiciaire haïtien a eu un impact direct sur les prisons, qui fonctionnent maintenant avec un taux de surpopulation de 316%, selon un dernier rapport des Nations Unies.
Au cours de l’année 2020, l’insécurité et les grèves récurrentes des employés de la justice, des procureurs et des juges ont presque paralysé le système judiciaire et déclenché le taux de détention préventive prolongée, qui touche 80 % des détenus.
Selon l’étude de l’ONU, les personnes dans cette situation représentent la grande majorité de la population carcérale en Haïti. Ce phénomène génère donc une surpopulation dans les prisons, dont le taux est passé à 316 % au cours du mois de janvier, indique l’étude de l’ONU.
Toutefois, l’ONU à travers BINUH, continue d’apporter son appui indéfectible à un régime continuant de violer systématiquement les droits humains pour arriver à instaurer une dictature. Haïti, un état en faillite qui n’est ni dirigé ni gouverné est plongé dans la bêtise humaine voulue par des acteurs internationaux ne ratant jamais l’occasion de faire croire quelque chose de bon se passe au sein du gouvernement Tèt kale.
L’ONU (BINUH) a également félicité le gouvernement pour ses efforts visant à résoudre ce problème et a suggéré que les acteurs de la chaîne pénale s’approprient le plan proposé par le ministère de la justice et s’accordent sur une feuille de route comprenant des actions concrètes pour limiter le taux de prisonniers sans accès à la justice et revitaliser le système.