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Pour colmater les brèches de la Police Nationale dans la lutte contre l’insécurité généralisée, le Collectif du 4 décembre appelle à une meilleure prise en charge des Forces Armées d’Haïti (FAD’H).

L’insécurité, a apparemment, atteint son point culminant. La Police Nationale d’Haïti à elle seule ne peut pas garantir la sécurité totale de la population de l’avis du Collectif du 4 décembre. Par conséquent, il exhorte les représentants de l’État à mobiliser plus de moyens pour rendre plus fonctionnelles les Forces Armées d’Haïti (FAD’H).

Ce que nous sommes en train de vivre actuellement en Haïti dépasse l’entendement. C’est du terrorisme pur et simple. Nous avions mis la forte armée française en déroute grâce à des vaillants soldats de l’armée indigène. C’était une prouesse. Aujourd’hui encore face à ce dilemme, il faut penser à faire appel à l’armée d’Haïti pour surmonter cette pente” a lâché Jean Robert ARGANT.

“Ce grand banditisme généralisé n’épargne personne peu importe votre rang social” a renchéri l’homme d’affaire qui s’en prend, par ailleurs, aux autorités concernées. “Ils ne font rien pour déstabiliser les foyers de gangs.”

La Police Nationale fait de bons coups. Cela n’a pas empêché à certains acteurs économiques et politiques de renom de songer à la remobilisation effective de l’armée haïtienne dont un embryon a été activé par l’ancien président Jovenel MOÏSE. Il faut souligner qu’il a n’y rien d’illégal dans la remobilisation des Forces Armées d’Haïti (FAD’H). La Constitution du 29 mars 1987 a fait mention en son article 263 des forces de Police et des forces armées d’Haïti.

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