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Chaque secteur d’activité a son tribut à payer dans la zone de la Croix-des-Bouquets. Exemption n’est faite même pas pour l’informel. Le coup fatal porté par le gang “400 marozo”, qui désormais éclipse l’état dans ce bloc.

On a vu circuler ce que l’on pourrait appeler des lettres. Elles ont eté adressées à des particuliers qui essaient de se tailler une place dans le secteur des affaires pour mieux faire face à la chèreté de la vie. Plus d’un pensait à un jeu pas avant qu’ils officialisent leur grille tarifaire pour tous ceux ayant créer une petite activité pour survivre.

Selon cette imposition dont la rédaction a eu copie, chaque citoyen indistinctement doit pays ce groupe criminel pour pouvoir continuer de fonctionner. Aucune considération n’est faite de la rentrée du concerné. Les tributs imposés aux habitants de la Croix-des-Bouquets sont à la fois journaliers, hebdomadaires et mensuels. Des décisions qui commencent à fermer les portes de certains business dans un pays que des gens prétendent être des dirigeants.

Selon les données disposées – publiées par notre confrère Bilolo Congo et indépendamment vérifiées par notre rédaction – 15000 gourdes, 2500 gourdes et 1000 gourdes sont perçues sur respectivement chaque unité de boeuf, porc et cabrit. Les barbers et les studios de beauté paieront 2500 et 5000 gourdes tous les vendredis. Un montant de 2500 réquis chaque vendredi aux marchands qui vendent des plats chauds et 5 plats au quotidien aux bandits de surcroit.

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