Le 17 octobre 1806, les ennemis de la liberté avaient finalement arraché la plupart des racines restantes de l’arbre de la liberté. Les haïtiens consciencieux pleurèrent toutes les larmes de leurs corps. Les autres aux langues gluantes et pestilentielles, pourléchèrent leurs babines.
Ô 17 octobre 1806, ce maudit jour où tu nous quittas physiquement Dessalines!!
Dessalines, ce nom qui résonne jusqu’aux confins de Terrea. Dessalines le nom qui fait trembler le mercenariat.
Dessalines à qui nous devons cette nation, l’inébranlé.
Dessalines l’illustre, qui dessala totalement l’océan de l’esclavage et le transforma en le rendant potable à tous ceux qui avaient soif de la liberté.
Dessalines le grand, plus grand encore que les dieux dont la multitude adore, ta mémoire je salue et honore.
Il reste peu de temps avant que le glas de la fin de l’infamie ne sonne. Et enfin, tes dignes enfants se souviendront et agiront en conséquence.
Gloire aux nobles et fiers guerriers de la liberté!!
Gloire à la sagesse infinie et inaltérée!!
Gloire à la liberté sage qui n’a jamais cédé!!
Gloire à la Vérité éternelle jamais souillée !!!
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