Un procès Petro Caribe contre les présumés dilapidateurs, Martelly, Jovenel Moise, Lamothe, Laleau, Bellerive et consorts et autres associations de malfaiteurs…les Haïtiens patriotes y parviendraient-il un jour ? Sak ta di ke Jean-Claude Duvalier tal chita devan yon jij yon lè ! L’histoire est un perpétuel recommencement surtout quand on donne des coups d’épée dans l’eau et pratique la politique de l’autruche… La fédération des gangs G9 en est l’exemple concret ou encore les 25 stades de Laurent Lamothe.
Ministre bolivien des Affaires Etrangères :« Almagro n’a aucune autorité morale ou politique pour se référer à la nation andine-amazonienne et que, sous le prétexte de défendre les droits de l’homme, il favorise des intérêts particuliers et politiques et oublie les violations, les morts et les persécutions commises par le régime de facto« .
Mardi 16 mars 2021 ((rezonodwes.com))–Le gouvernement de la Bolivie a rejeté mardi les déclarations du Secrétaire général de l’OEA, Luis Almagro, sur le processus judiciaire contre les anciens responsables du coup d’État et qui, selon les autorités, cherchent à raviver la violence et la confrontation entre Boliviens.
Le ministère bolivien des Affaires Etrangères, dans un communiqué, a déclaré qu’ »Almagro n’a aucune autorité morale ou politique pour se référer à la nation andine-amazonienne et que, sous le prétexte de défendre les droits de l’homme, il favorise des intérêts particuliers et politiques et oublie les violations, les morts et les persécutions commises par le régime de facto« .
Ses actions, poursuit le communiqué, « coûtent des vies humaines et il doit être tenu responsable de son comportement partial et loin de toute objectivité« , dénonce en substance le texte en faisant référence aux déclarations du secrétaire général de l’Organisation des États américains (OEA) le 15 mars.
Selon lui, Almagro devrait s’inquiéter des conséquences de sa mission d’observation électorale lors des élections générales de 2019, lorsqu’elle n’a pas respecté les normes requises et a émis un rapport manipulé, sans éléments ni preuves de la fraude présumée, ce qui a contribué aux bouleversements sociaux qui ont conduit au coup d’État contre le président de l’époque, Evo Morales (2006-2019).