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« Violences verbales contre les femmes », un fait perçu comme monnaie courante chez nous. Nous attendons à l’œuvre M. Hédouville, accusé par SOFA, de « batteur de femmes » pour endiguer ce fléau, commente un internaute sur les réseaux sociaux. En ce sens, poursuit un autre, n’allons-nous plus entendre le dénigrement des femmes à travers de nouveaux tubes grivois d’un triste célèbre chanteur réputé pour de telles performances en plein air et en direct à la télé ? Pour l’instant, des dominicains ont marché dans les rues pour se prononcer contre toutes violences verbales, physiques faites aux femmes. Un pas à emboîter si nous voulons construire une société beaucoup plus juste et moderne. Le chef de la police nationale dominicaine soutient fortement l’initiative

Santo Domingo, mercredi 1 novembre 2017 ((rezonodwes.com)).-Alors qu’un homme accusé de violation des droits de la femme, par SOFA, vient tout juste d’intégrer officiellement le régime Tèt kalé, en la personne de M. Renan Hédouville, comme Protecteur du Citoyen, ailleurs en République Dominicaine, c’est la marche des centaines d’hommes pour dénoncer toutes violences exercées sur la femme.

Les dominicains qui ne manquent pas de nos jours de prendre en main leur destin, par centaines ont participé mercredi après-midi à une marche contre la violence contre les femmes, avec pour unique but de sensibiliser le public sur les nombreux cas de féminicides occurrant dans le pays.

Contrairement à la ministre haïtienne à la Condition Féminine qui s’est gardée jusqu’à présent de se prononcer sur les dérives du Festival d’été à Gelée, (aux Cayes), son homologue de la République Dominicaine a parlé.  La ministre de la Femme, Janet Camilo, a déclaré mercredi après-midi qu’elle « souhaiterait se réveiller un matin sans entendre dans les nouvelles un seul cas de féminicide ou de violences sur une femme enregistré« .

Pou sa par, Ney Aldrin Bautista, directeur général de la police nationale dominicaine, a déclaré qu’il soutenait cette initiative pour sa mère, sa femme, sa sœur.

« Arreter la violence contre les femmes est aussi une affaire d’hommes« , scandaient les centaines d’hommes voulant faire de novembre le mois contre la violence féminine.